I/ Décoder les Ecologic Key Figures
Introduction
Sans rappeler notre paysage technologique en constante évolution, l’impact environnemental des volumes de données tout autant que la consommation d’énergie des éléments de stockage et de diffusion est devenu un sujet d’examen intellectuel, et nécessaire.
Cop28 Changements climatiques du 30 Novembre (au 12 décembre 2023), Conférence des Parties, Sommet de la Terre :
En signant le Protocole de Kyoto en 1997, la France s’est par exemple initialement engagée à maintenir ses émissions de GES (Gaz à effet de Serre, CO2, CH4, HFC, N20, PFC, SF6 etc…) à un niveau des émissions de 1990 en 4 ans. C’est donc un engagement vers la redéfinition d’un nouvel objectif, à savoir une baisse d’environ 17 % des émissions par rapport à 1990.
En 2015, ceux sont la loi de Transition Énergétique pour la Croissance Verte et le Code de l’Environnement qui ont introduit le principe d’une Stratégie Nationale Bas-Carbone : une feuille précisant les orientations que l’Hexagone doit suivre pour réduire les émissions de GES avec deux objectifs :
–
- Viser la neutralité carbone collective d’ici à 2050 ;
- Réduire l’empreinte carbone de notre consommation.
–
Et en Europe ? :
Le classement (Eurostats) précise qu’en 2018, la France se classait 10ème, en 2023, 4ème des pays les moins carbonés des 27 de l’Union Européenne.

Dans ce cas, combien dans l’univers de la tech ?
Comment se mesure cet impact (via ses ecologic key figures) au sein du milieu de la Tech actuellement ? Chaque continent et chaque entreprise ont-ils & elles leurs méthodes de mesures sur leur échelles ? Peut-on les regrouper dans un score ?
La question de Carbon 4, groupe renommé français affilié au conseil et ingénierie oeuvrant vers la maitrise des énergies et de l’impact anthropique sur notre planète depuis que nous le mesurons : En tant que géants du numérique, les 1er hyperscalers, Amazon, Google et Microsoft prennent-ils en compte pertinemment ces enjeux environnementaux pour contribuer à l’objectif de neutralité carbone planétaire
Comment UADIA peut intégrer un score Carbon ou green key à ses données annonceur & publisher ?
Pour s’engager sur la voie de l’écologie, en prenant comme base les domaines clefs tels que la Biologie-Environnement, les Energies, Risques en environnement, Hydrologie, Géologie, Chimie et Ingénierie conseil il faut débuter par l’exploration des mesures internationales déjà réalisées (GIEC) et les initiatives disponibles (Shift, Carbon 4, Ademe Bilan CARBON France), (Borderstep institute Think Tank US), & différentes voies de développement nationales, internationales, publics & privées, en omettant les données liées aux stratégies de GreenWashing (communications institutionnelles abusives à objectif hollistique) très présentes et souvent identifiées globalement à tord, lobbying et autres informations pour affiner les différents calculs actuels : car la plupart peuvent être considérés comme des vanity metrics, des calculs ne prenant pas compte la totalité des variables se devant techniquement de présenter l’impact écologique des domaines digitaux sur l’ensemble de la chaine de valeur du domaine.
Quelques pistes vers les méthodes de mesures et étude de références que nous vous invitons à compléter :
The Green grid : Power Usage Effectiveness disponible au sein de notre Airtable
Uptime Institute : Data Center Survey 2021
L’objectif principal de ce point de vue est de rendre les plateformes web, web3, online, Saas ou logiciel plus efficaces sur le plan énergétique, cela passe par l’identification d’un schéma identifiable dont les serveurs font intégralement partie
II/ L'impact des serveurs actuels
1. Par types de serveurs utilisées
Débutons par les serveurs EDGE, périphériques
Imaginons un réseau avec des serveurs d’origine et des serveurs périphériques :
- Les utilisateurs tentent de se connecter à votre site web, service ou application.
- Le serveur edge le plus proche traite leur demande.
- Ce serveur edge se connecte au point d’origine et récupère les données nécessaires.
- Les utilisateurs obtiennent les données demandées du serveur edge.
Résumons les avantages :
- Les serveurs d’origine traitent moins de requêtes.
- Les serveurs périphériques peuvent être configurés pour gérer des requêtes spécifiques.
- Le modèle de réseau décentralisé offre une sécurité accrue.
- Les utilisateurs peuvent charger les sites web et recevoir les données plus rapidement (CDN).
- Les serveurs edge, de différentes formes et tailles, sont facilement installables dans des endroits éloignés.
–
Cependant, l’utilisation de serveurs périphériques présente des inconvénients : en raison de leur dispersion géographique, il est nécessaire d’établir des processus de surveillance liés, d’entretien et de mise à jour technologiques récurrentes. Les entreprises recourent à des fournisseurs d’edge computing pour ces tâches, engendrant des coûts supplémentaires et des défis de coordination qui ont eux aussi un impact écologique et intégrés aux ecologic key figures.
L’augmentation du nombre de serveurs crée également des points d’entrée supplémentaires dans le réseau. Si les serveurs edge ne sont pas correctement configurés et entretenus, ils pourraient donc logiquement être vulnérables, exposant ainsi des informations sensibles, moins performants et donc impactant plus fortement leur environnement. En général, à moins que votre entreprise ne possède l’expertise et les ressources nécessaires pour gérer les serveurs périphériques, il est recommandé de recourir à un fournisseur externe.
Comment fonctionnent les serveurs Edge ? Tout ce que vous devez savoir
https://learn.microsoft.com/fr-fr/exchange/edge-transport-servers
https://www.lenovo.com/fr/fr/c/servers-storage/servers/edge/
Les serveurs Cloud, new tech
Dans l’univers de la tech, des solutions de paiements, de services géolocalisés en temps réel, services publicitaires, et réseaux sociaux, les serveurs cloud regroupe les activités des différents sites d’un même opérateur, ou d’une entreprise et d’un service: ces derniers optimisent alors leurs machines et stockages physiques en exploitant toutes leurs capacités.
Les serveurs cloud sont des infrastructures informatiques virtuelles dématérialisées, fournies en tant que services à travers Internet. Ils offrent une puissance de calcul, un stockage et d’autres ressources inégalés, permettant aux utilisateurs d’accéder à des solutions informatiques flexibles optimisés pour les demandes régulière (service à la demande), sans nécessiter d’investissements importants dans des équipements physiques. Ces serveurs sont hébergés et gérés par des fournisseurs de services spécifiques cloud, permettant donc aux utilisateurs de tirer parti de l’évolutivité, de la disponibilité élevée, et de la facilité de gestion, tout en payant uniquement pour les ressources qu’ils consomment, transformant ainsi l’informatique en un modèle économique plus agile et efficient.
Services Cloud Google
https://cloud.google.com/distributed-cloud-edge?hl=fr
https://cloud.google.com/pricing/list?hl=fr
https://kinsta.com/fr/blog/hebergement-google-cloud/
91 Services
Pléthore d’utilisation des serveurs & technologies existantes actuellement :
Serveurs Web : Ces serveurs hébergent des sites web et servent les pages web aux utilisateurs qui y accèdent via un navigateur.
Serveurs de fichiers : Ils stockent et gèrent les fichiers, permettant aux utilisateurs d’accéder et de partager des données au sein d’un réseau.
Serveurs de base de données : Ces serveurs stockent, organisent et gèrent les bases de données, permettant aux applications d’accéder aux données de manière structurée.
Serveurs d’applications : Ils exécutent des applications et des logiciels spécifiques, fournissant des fonctionnalités ou des services à d’autres programmes sur le réseau.
Serveurs de messagerie : Ils gèrent l’envoi, la réception et le stockage des e-mails.
Serveurs DNS (Domain Name System) : Ils traduisent les noms de domaine en adresses IP, facilitant ainsi la navigation sur Internet.
Serveurs Proxy : Ils agissent en tant qu’intermédiaires entre les utilisateurs et les serveurs, contrôlant et filtrant les demandes pour améliorer la sécurité, les performances et la confidentialité.
Serveurs DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) : Ils attribuent automatiquement des adresses IP et d’autres informations de configuration aux dispositifs connectés à un réseau.
Serveurs VPN (Virtual Private Network) : Ils permettent aux utilisateurs de se connecter de manière sécurisée à un réseau à distance via Internet.
Serveurs de jeux : Ils hébergent des jeux en ligne, permettant à plusieurs joueurs de se connecter et de jouer ensemble.
Serveurs de streaming : Ils diffusent du contenu multimédia, tels que des vidéos, de la musique ou des fichiers audio, aux utilisateurs via Internet.
Serveurs Cloud : Ils fournissent des services informatiques à la demande, tels que le stockage, la puissance de calcul et d’autres ressources, via Internet.
Chaque serveurs peut être achetés par l’utilisateurs, dits « On premise » ou alloués et utilisé en fonction de la demande (mise à disposition)
2. Fonctionnement, Efficacité et Chiffres clefs


Mesure d’efficacité des serveurs et chiffres disponibles ici
https://www.google.com/about/datacenters/efficiency/?hl=fr
Google case, map des Géolocalisations des serveurs Google
Les serveurs de ces cartes sont détenus par le Géant Google, les bureaux Google se trouvent Rue de Londres, Paris, ainsi que leur Cloud Business Center Rue de 4 Septembre. La distance des serveurs avec les utilisateurs mobilise les infrastructures de connexions telles que les cables sous marins dont les conditions de mise en tension sont telles qu’elles impactent la consommation globale de cette chaine de valeur définissant par extension le chemin des données utilisées (U=I*R en plus complexe 😉 ).



État de l’art, Méthode de calcul de Consommation, & d’Efficience actuelle :
Le cas Google,
en se focalisant spécifiquement sur les produits de Google, l’un des plus grand acteur du stockage (secteur IT), une étude de cas réalisée par l’Administration des services généraux des États-Unis (General Services Administration, GSA) a révélé que l’intégration de Google Apps au sein des bureaux a entraîné une diminution des coûts IT, de la consommation d’énergie et des émissions de carbone, allant de 65 % à 90 %. Leurs recherches démontrent qu’en utilisant Gmail, les entreprises peuvent réduire de manière significative leur empreinte environnementale, atteignant jusqu’à 98 % de diminution par rapport à celles qui gèrent leur messagerie via des serveurs locaux.
Google offre une méthodologie et des outils tel que la Suite CARBON SENSE afin de mesurer son impact lors de l’utilisation de leurs Cloud, et son Outil Insights présente leur méthode afin de cerner les paramètres d’une transition IT verte, alors Green Washing ou non ?
Plusieurs entreprises de régulation, conseils et différents groupes et Think Tank sont affectés à la mise en application & à l’étude afin de faire évoluer ces méthodes :
Les organismes crées ou mobilisés sur leurs plateformes (partnership de Google)
https://iclei.org => collectivité local, médiation, médiatisation, peut être évangélisation et promotion
https://www.ironbarksustainability.com.au => australien, créateur de snapshot tools
https://www.borderstep.org 15 ans Think Tank
https://uptimeinstitute.com/resources/asset/2021-data-center-industry-survey


Une méthode de calcul d’impact intégrée aux infrastructures Cloud Google en 2023, polarisée autour de cette architecture :



Équation Power Usage Effectiveness (Créée par The Green Grid, dont le nom est un peu explicite)
Au delà des éléments électriques donnés, les infrastructures Serveurs et Cloud, pour fonctionner, consomment de l’énergie (panneaux de controls, ordinateurs, lumières, systèmes de sécurités, chauffages et outlets, Télécommunications etc…
Elles impliquent des variations faibles d’énergies pouvant être dues au système de raccordement et la qualité d’entretien des systèmes perdant en efficacité continue, ESIS = ETX – EITS ? Ces variations représentent la réalité de l’optimisation énergétiques et de l’évolution des méthodes de mesures.
Voici la Clé de compréhension de la méthodologie de calcul d’impact Google afin de déterminer la consommation en temps réel des structures actuelles:
Rouge : consommation électrique annexe
Vert : alimentation du système informatique
ESIS : consommation d’énergie liée aux sous-stations de l’infrastructure alimentant l’unité de refroidissement, l’éclairage, les bureaux et certains équipements réseau
ESIS = compteurs globaux des stations électriques des infrastructures périphériques
EITS : consommation d’énergie des sous-stations informatiques alimentant les serveurs, le réseau, l’équipement de stockage et les climatiseurs des salles informatiques (CRAC)
EITS = compteurs globaux des stations des serveurs
ETX : pertes du transformateur à moyenne et haute tension
ETX = compteurs globaux
EHV : pertes du câble haute tension
EHV = système de câblages haute tension
ELV : pertes du câble basse tension
ELV = système de câblages basse tension
EF : consommation d’énergie des combustibles sur site, y compris le gaz naturel et les carburants
(EF = energies fossiles + gaz fossiles ? (gaz renouvelables ?))
ECRAC : consommation d’énergie des climatiseurs des salles informatiques
EUPS : perte d’énergie liée aux systèmes d’alimentation sans coupure (UPS) qui alimentent les serveurs, l’équipement réseau et l’équipement de stockage
ENet1 : salle de réseau alimentée par la sous-station d’unités de type 1
UPS: uninterruptible power supplies
Les installations Google possèdent en effet diverses infrastructures électriques et de refroidissement, et sont situées dans des régions possédant des biomes & climats différents. Les conditions météorologiques saisonnières ont donc un impact sur les valeurs de l’efficacité énergétique (thermique), ce qui explique pourquoi elles sont souvent plus faibles pendant les trimestres les plus froids (La batterie qui se décharge plus rapidement dans un environnement plus froid). Leur moyenne est maintenue faible pour l’indicateur d’efficacité énergétique sur l’ensemble de leur parc de centres de données à travers le monde, même pendant les étés chauds et humides.
La puissance mesurée utilisée par ce type de matériel informatique inclue uniquement les serveurs, l’équipement de stockage et l’équipement réseau. Le reste est une consommation électrique annexe.

En terme de Dashboard, & en conclusion, pour analyser plus en détail les émissions de carbone brutes de leurs serveurs, les tableaux de bord Google comprennent différents graphiques selon leurs services :
- Émissions de carbone brutes mensuelles: affiche le total estimé des émissions de gaz à effet de serre brutes associées à l’utilisation des services Google Cloud couverts pour le compte de facturation sélectionné pour l’ensemble des mois disponibles, ventilées par mois.
- Émissions de carbone brutes par projet: affiche les émissions brutes estimées de gaz à effet de serre associées à l’utilisation des services Google Cloud couverts pour le compte de facturation sélectionné au cours du dernier mois complet, ventilées par projet Google Cloud.
- Émissions de carbone brutes par produit: affiche les émissions brutes estimées de gaz à effet de serre associées à l’utilisation des services Google Cloud couverts pour le compte de facturation sélectionné au cours du dernier mois complet, ventilées par service Google Cloud.
- Émissions de carbone brutes par région: affiche les émissions brutes estimées de gaz à effet de serre associées à l’utilisation des services Google Cloud couverts pour le compte de facturation sélectionné au cours du dernier mois complet, ventilées par région Google Cloud.


III/ Mobilisation des énergies renouvelables
Des rappels qui évoluent sans cesse et s'affinent
Et le mix énergétique ? Trois méthodes sont classiquement utilisées pour revendiquer un recours à l’électricité renouvelable pour alimenter les activités opérationnelles de l’entreprise :
- L’achat de Garanties d’Origine EnR – GO – via un système de marché
- Le financement de capacités EnR additionnelles via un contrat de longue durée (Power Purchase Agreement – PPA) avec un producteur d’électricité EnR (sans nécessairement de lien physique entre l’entreprise qui finance et le lieu d’implantation des nouvelles capacités)
- La constitution de son propre parc de production EnR (énergies renouvelables).
Les clients et fournisseurs d’énergie de l’entreprise Google selon les pays d’implantation sont par exemples Engie en France et AES en Virginie
Sources :
https://www.prnewswire.com/news-releases/aes-announces-first-of-its-kind-agreement-to-supply-247-carbon-free-energy-for-google-data-centers-in-virginia-301282750.html
https://newsroom.engie.com/actualites/engie-et-google-concluent-un-contrat-dachat-delectricite-renouvelable-cppa-grace-au-developpement-docean-winds-dans-leolien-offshore-e469-ff316.html

Energie Fossiles, Gaz et aéothermie
Le gaz devient renouvelable grâce à l’essor du gaz vert en comparaison des méthodes d’extraction et fracturation est donc un des piliers dans le mix énergétiques qu’emploi les fournisseurs de services de stockage afin de rendre moins important leur activité. Produit localement à partir des déchets organiques, il a les mêmes caractéristiques et les mêmes usages que le gaz naturel pour se chauffer, cuisiner ou avoir de l’eau chaude. Il peut même être utilisé comme carburant. De plus en plus de fournisseurs proposent des offres de gaz vert (ou biogaz), une énergie 100% renouvelable, produite localement à partir de déchets agricoles, des collectivités ou des industries.
=> Combustible donc impactant l’environnement, mais renouvelable
GRDF : https://www.grdf.fr/institutionnel/role-transition-ecologique/energie-avenir/energie-renouvelable#:~:text=Gaz%20et%20aérothermie&text=Le%20gaz%20devient%20renouvelable%20grâce,même%20être%20utilisé%20comme%20carburant.
Selon les gisements, on considère plusieurs catégories de gaz naturel :
- Le gaz naturel associé
Celui-ci est un mélange de gaz et de pétrole. Il doit donc être séparé de ce dernier lors de son extraction. Ensuite, ce gaz est soit brûlé (les fameuses torchères), soit réinjecté dans le puits pour maintenir une pression continue, soit valorisé (de plus en plus). - Le gaz naturel non associé
Indépendant de tout gisement pétrolier, mais de formation géologique similaire, c’est le plus couramment exploité, notamment comme combustible ménager au quotidien partout dans le monde. En effet, il ne nécessite ni processus d’extraction ni technique de forage et permet donc une grande liberté dans son utilisation. - Le gaz de charbon
Également connu sous le nom de « grisou », il est de plus en plus exploité, en particulier aux États-Unis et en Chine. - Le gaz de schiste
Extrait des schistes, il est un combustible objet de controverse à cause de ses modalités d’extraction complexes et polluantes. - Les hydrates de méthane
Enfermés dans les sols gelés en permanence ou dans le sous-sol océanique, les hydrates de méthane ne sont aujourd’hui pas exploités pour des questions de rentabilité et ses ressources sont limitées. - Le gaz biogénique
Issu de gisements de faible volume et dispersés, il est le produit de la fermentation de sédiments organiques par des bactéries.
Les fournisseurs de services Cloud comme s’accordent sur ce mix et leurs chiffres le démontre
Sources : https://ekwateur.fr/blog/transition-energetique/gaz-naturel-energie-renouvelable-ecologique/
https://blog.google/outreach-initiatives/sustainability/our-third-decade-climate-action-realizing-carbon-free-future/
Le mix énergétique reste un exemple à suivre et représente toujours un challenge d’optimisation énergétique

IV/ Notre protocole afin d'aider les entreprises en développement
Un protocole plus juste d'après UADIA pour les techs vertes
- Tracer l’ensemble de la chaîne de valeur :
Identifier chaque maillon de la chaîne de valeur et démêler les subtilités du processus.
- Adopter des outils de mesure appropriés :
– Adopter des outils adaptés à chaque élément mesurable de la technologie et des applications aux logiciels de mesures. – Utilisez des dispositifs de mesure physique tels que des compteurs de courant IoT ou des dispositifs de mesure de la quantité de données.
- Transformer ou intégrer les éléments mesurables :
– Combler les lacunes dans les mesures en transformant ou en intégrant les éléments mesurables de manière transparente.
- Créer des équations et des égalités :
– Créez des équations et des égalités, en distinguant visuellement les vraies dimensions des approximations. – Minimisez les erreurs en plaçant les dimensions approximatives à la fin des calculs. – Séparez les consommations fixes, les empreintes carbone précalculées, les cycles de vie des produits, la mobilisation des hommes et femmes, les outils qu’ils utilisent et leur impact, et les valeurs fixes des variables telles que la consommation de données dynamique.
Utiliser les transit de données de serveur à serveur :
– Découvrez les nuances des données circulant entre les serveurs et comprenez les capacités exploitées par le fournisseur d’hébergement, y compris la mémoire et les services.
Réaliser les corrélation avec la consommation des serveurs :
– Établissez des liens entre la consommation des serveurs et la quantité de requêtes, en évaluant le nombre de requêtes générées par des plateformes telles que Google lors de la diffusion de publicités.
Quantifier les requêtes clients – serveurs :
– Les données transitant entre serveurs jouent un rôle crucial dans l’écosystème numérique, soulevant des préoccupations environnementales liées aux capacités mobilisées par les hébergeurs (volumes), les services, et la consommation énergétique des serveurs. Plongez dans le monde des requêtes, qui signifient la transmission de données en termes de mégaoctets, de gigaoctets ou de téraoctets.
Tracer l’itinéraire de diffusion des données :
– Tracer le chemin de diffusion des données, en tenant compte des éléments d’infrastructure et des capacités de données des serveurs.
Mesurer les capacités et fonctionnement des serveurs : – Prendre en compte les spécifications matérielles, explorer les capacités des serveurs à travers les spécifications matérielles, en extrapolant les mesures de performance et de consommation.
En abordant les perspectives opérationnelles :
– Aborder les aspects opérationnels, y compris les requêtes de recherche de contenu, les clics sur les publicités et les quantités de données associées, et les utilisateurs et ressources humaines qui s’y emploient.–
S’engager dans la voie des technologies vertes implique une attention méticuleuse aux détails, un engagement en faveur des pratiques durables et une compréhension profonde du réseau complexe de la dynamique des données : une ère de transformation représente un changement responsable dans la construction d’un nouveau paysage technologique.

Notre base de données de plus de 800 clients permet de manière maitrisée de faire évoluer vos prise de contacts : elle correspond aux besoins actuels des annonceurs & publishers sur chaque secteur : https://uadia.fr/produit/data-publicitaire-google
Notre article évoluera avec le temps, comme les méthodes de mesures carbone, et de nouvelles informations viendront s’y ajouter.
Nos sources :
https://www.carbone4.com/analyse-empreinte-carbone-du-cloud
https://www.carbone4.com/projet-nzi
https://cloud.google.com/distributed-cloud-edge?hl=fr
https://www.newscientist.com/article/2354801-google-has-finally-revealed-how-much-water-its-data-centres-use/
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0959652623027427?via%3Dihub
https://www.ironbarksustainability.com.au
https://uptimeinstitute.com/resources/asset/2021-data-center-industry-survey
Rapport trouvé sur https://itjoo.ir
https://www.thegreengrid.org/en/resources/library-and-tools/20-PUE:-A-Comprehensive-Examination-of-the-Metric
https://datacenters.lbl.gov/sites/default/files/WP49-PUE%20A%20Comprehensive%20Examination%20of%20the%20Metric_v6.pdf
https://kinsta.com/fr/base-de-connaissances/serveurs-edge/
https://learn.microsoft.com/fr-fr/exchange/edge-transport-servers
https://www.lenovo.com/fr/fr/c/servers-storage/servers/edge/
https://cloud.google.com/sustainability?hl=fr
https://cloud.google.com/distributed-cloud-edge?hl=fr
https://cloud.google.com/pricing/list?hl=fr
https://kinsta.com/fr/blog/hebergement-google-cloud/
https://www.google.com/about/datacenters/efficiency/?hl=fr
https://workspace.google.com/features/?hl=fr
https://console.cloud.google.com/carbon?hl=fr
https://cloud.google.com/earth-engine?hl=fr
https://www.google.com/about/datacenters/efficiency/?hl=fr
https://www.journaldunet.com/cloud/1516159-la-carte-des-plus-de-50-datacenters-d-ile-de-france/
https://blog.google/outreach-initiatives/sustainability/our-third-decade-climate-action-realizing-carbon-free-future/
https://insights.sustainability.google/methodology?hl=fr
https://insights.sustainability.google
https://cloud.google.com/about/locations?hl=fr
https://www.journaldunet.com/cloud/1516159-la-carte-des-plus-de-50-datacenters-d-ile-de-france/
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